Une bouche sèche par le brasier du désir,
Salée s’humidifie au contact de la peau,
Nos lèves hésitantes qui se cherchent nous fait frémir,
Et se chevauchent houleuses attirées par tes mots.
Ma bouche ouverte exhale ton air que je respire,
La tornade de nos deux souffles nous tient chaud,
Nos langues enivrées se délient de plaisir,
jouant fougueuses et se caressent au mouvement de ton eau.
Des baisés qui courent et qui roulent,
Sur les grains des pores de ton cou,
Ces baisées qui jouent et qui mouillent,
Raisonnent en moi comme des mots doux.
Des baisées qui tournent et déboulent,
Sur la soie tissés de tes joues,
Ces baisée fous qui nous chatouillent,
Dévoilent un sourire sans tabou.
Une bouche gourmande extasiée de douceur,
Mordillant de ses charmes ton corps doux et sensuelle,
Nos lèvres tremblantes se pressent au rythme du cœur,
Et dans nos veines coulent des traces pures et charnelles.
Ta bouche envoutante m’amène le goût du bonheur,
Noyée par cette cascade nos êtres qui s’émerveillent,
Nos langues aspirées d’un tourbillon de chaleur,
On lie corps et âme notre esprit qui nous ensorcelle.
Des baisés qui courent et qui roulent,
Sur les grains des pores de ton cou,
Ces baisées qui jouent et qui mouillent,
Raisonnent en moi comme des mots doux.
Des baisées qui tournent et déboulent,
Sur la soie tissés de tes joues,
Ces baisée fous qui nous chatouillent,
Dévoilent un sourire sans tabou.
Nos bouche sèches par le brasier du désir,
Salée s’humidifie au contact de la peau,
Nos langues aspirées d’un tourbillon de chaleur,
On noue corps et âme notre esprit qui nous ensorcelle.
(Le 21 OCTOBRE 2008),
Paroles & Musique :
Frédéric DESLANDES / Frédéric VIAL