J’ai tant de souvenirs qui me reviennent,
et notre histoire qui s’enfuit,
oublier tous nos rêves,
quand un amour devient débris.
Le temps cicatrise,
nos coeurs déchirés,
toutes ces heures malheureuses,
à dénigrer le passé.
Et tu me manques tellement,
que toujours ton absence,
me rappelle,
tous ces instants de vide,
sans romance.
Comme tu me manques tellement,
j’ai froid de longue distance,
et que ma chanson réchauffe,
toute cette glace entre toi et moi.
Tous ces mots sans importance,
lancés de travers,
réveille tant d’imprudence,
que l’on ne pense guère.
Si la chance nous guette,
et que tu reviennes vers moi,
malgré nos maladresses,
tout recommencera.
Et tu me manques tellement,
de toutes ces longues semaines,
qui se déroulaient loin de toi,
nourrissait mon impatience,
de t’avoir auprès de moi.
Comme tu me manques tellement,
je garde ton sourire dans mon coeur,
et sur mon chemin, alors que le mien,
est peut-être déjà loin.
Comme tu me manques tellement,
j’ai froid de longue distance,
et ta présence m’échappe,
de jour en jour.
Comme tu me manques tellement,
de toute mon existence,
d’une telle impuissance,
je ne peux que t’aimer. Et toi, est-ce que tu m’aimes encore ? Quelque part,
dis-moi, est-ce que tu m’aimes encore ?
Moi, je ne peux que t’aimer.
Est-ce que tu m’aimes encore ?
Est-ce que tu m’aimes encore…?
(Le 19 Août 1998),
Paroles & Musique :
Frédéric DESLANDES / Frédéric VIAL