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Parole de chanson

TU ES MON TOUT

Tu es mon tout, aux confins de mon âme,

Je ressens ta chaleur malgré le froid,

D’un seul geste de toi, mon cœur s’enflamme,

En vapeurs d’amour au plus profond de moi.

Tu es mon tout, douceur à défaut du contraire,

Dans mon esprit, violence tu me tiens tête,

Par les deux mondes, paradis ou enfer,

Tel en est la question, où peux-tu être ?

Bien plus que des regrets qui amènent la tristesse,

Toutes ces joies et ces larmes qui ont eu raison de nous,

De m’envoler vers toi éternise ma jeunesse,

Comme un oiseau blanc innocent, car tu es mon tout.

Bien plus que mes colères cachées par mes faiblesses,

De cet amour manqué mon cœur en devenait fou,

De croire à chaque instant que ton retour me presse,

Dans tes bras je reviendrais, car tu es mon tout.

Tu es mon tout, autant le bien que le mal,

Tu puises en moi toute la faiblesse de ma force,

D’une passion qui coule d’amont en aval,

Comme la sève à l’intérieur de l’écorce.

Tu es mon tout, proximité ainsi que distance,

Assoiffée de pensées qui m’ont envahie,

Ton ombre enivrante a troublé ma conscience,

De ne plus sentir ta présence, j’en périt.

Bien plus que des regrets qui amènent la tristesse,

Toutes ces joies et ces larmes qui ont eu raison de nous,

De m’envoler vers toi éternise ma jeunesse,

Comme un oiseau blanc innocent, car tu es mon tout.

Bien plus que mes colères cachées par mes faiblesses,

De cet amour manqué mon cœur en devenait fou,

De croire à chaque instant que ton retour me presse,

Dans tes bras je reviendrais, car tu es mon tout.

Bien plus que des regrets qui amènent la tristesse,

Toutes ces joies et ces larmes qui ont eu raison de nous,

De m’envoler vers toi éternise ma jeunesse,

Comme un oiseau blanc innocent, car tu es mon tout.

Bien plus que mes colères cachées par mes faiblesses,

De cet amour manqué mon cœur en devenait fou,

De croire à chaque instant que ton retour me presse,

Dans tes bras je reviendrais, car tu es mon tout.

(Le 18 juin 2008),

Paroles & Musique :

Frédéric DESLANDES / Frédéric VIAL

D’après un texte de : Ev*elfya

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