Le matin au réveil, je me sens tout bizarre,
Cette chose qui monte en moi, me gène dans le pyjama,
De rester immobile, à l’abri des regards,
Je m’enfuis dans mes rêves, me glissant sous les draps.
Dans mes pensées les plus profondes je m’égare,
une horde de filles nues, m’attirent comme un aimant,
la chaleur de leurs corps m’échauffe, il est trop tard,
Étouffé par leurs cris, la conscience me reprend.
Ne t’inquiètes pas, c’est la nature,
Elle vient comme elle part sans émois,
Je peux te le dire, c’est la mère nature ?
C’est comme ça qu’elle joue de sa loi, oi oi oi.
Ne t’en fait pas, c’est la nature,
Elle te donne déceptions ou joies,
Je te le confirme, c’est la mère nature,
Tenté ou non, y a pas le choix, oi oi oi.
Une journée de passé, je retrouve mon dortoir,
Ma tenue de nuit enfilée, pouf, sur mon matelas,
Pressé de d’retrouver ce fantasme avec espoir,
Qui d’un sursaut soudain, s’en est arrêté là.
Des tentatives de caresses exquises dans le noir,
Ramènent ces beautés dénudée qui, m’aguichant,
Disparaissent tout à coup, sans m’en apercevoir,
je reste là seul dans mon froque en m’endormant.
Ne t’inquiètes pas, c’est la nature,
Elle vient comme elle part sans émois,
Je peux te le dire, c’est la mère nature ?
C’est comme ça qu’elle joue de sa loi, oi oi oi.
Ne t’en fait pas, c’est la nature,
Elle te donne déceptions ou joies,
Je te le confirme, c’est la mère nature,
Tenté ou non, y a pas le choix, oi oi oi.
(Le 18 septembre 2008),
Paroles & Musique :
Frédéric DESLANDES / Frédéric VIAL