Je la vois déambuler dans les rues,
Ses yeux plongés dans la solitude,
Son regard sans vie semble perdu,
Et noyé d’un sentiment d’inquiétude.
Sur ses lèvres, laisse un goût amer de déjà vu,
Et des empreintes lui apportent l’incertitude,
Elle recherche une tendresse non reçue,
En un message de détresse par habitude.
Ne pense pas a ceux qui t’ont brisé le cœur,
Même si tu débordes d’ennuis et de chagrin,
Tu trouveras un jour la force des prochaines heures,
Qui te conduira vers d’autres lendemains.
Ne pense plus a ce qui te blesse a l’intérieur,
Même si tu es dévorée par les méfaits du destin,
Evite de glisser dans la rancœur,
Cela t’entraînerait vers un autre chemin.
Je l’imagine sur un banc l’air avide,
Maquillée d’un nuage de lassitude,
Même le temps qui passe ne provoque aucune ride,
Malgré que la tristesse lui paraisse rude.
Le cœur déchiré par une simple demande,
D’aimer pour combattre la solitude,
Et oublier c’que l’amour engendre,
Pour que le mal du passé devienne habitude.
Ne pense pas a ceux qui t’ont brisé le cœur,
Même si tu débordes d’ennuis et de chagrin,
Tu trouveras un jour la force des prochaines heures,
Qui te conduira vers d’autres lendemains.
Ne pense plus a ce qui te blesse a l’intérieur,
Même si tu es dévorée par les méfaits du destin,
Evite de glisser dans la rancœur ,
Cela t’entraînerait vers un autre chemin.
Ne pense pas a ceux qui t’ont brisé le cœur,
Même si tu débordes d’ennuis et de chagrin,
Tu trouveras un jour la force des prochaines heures,
Qui te conduira vers d’autres lendemains.
Ne pense plus a ce qui te blesse a l’intérieur,
Même si tu es dévorée par les méfaits du destin,
Evite de glisser dans la rancœur,
Cela t’entraînerait vers un autre chemin.
(Le 5 Février 2004),
Paroles & Musique :
Frédéric DESLANDES / Frédéric VIAL